Perte d’autonomie : comment sortir du cercle vicieux ?

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La perte d'autonomie ou dépendance commence dès lors qu'on éprouve des difficultés à effectuer seul ses tâches quotidiennes telles que les courses, les repas ou la toilette. Ces signes doivent alerter et entraîner une réaction rapide afin de ralentir autant que possible cette détérioration.

En avançant dans l’âge, le corps montre de plus en plus de signes de fatigue.

Manque d’énergie, douleurs, maladies… Ces souffrances qui minent le moral découragent toute forme d’activité physique.

Les kinésithérapeutes qui travaillent avec ce public le constatent quotidiennement :

« Lorsque les douleurs s’installent, les patients réagissent souvent en renonçant petit à petit aux activités qui les maintenaient actifs physiquement, comme le cours de gym ou la promenade.
En agissant ainsi, ils créent hélas les conditions idéales à l’accélération de la perte d’autonomie. »

déplore Axel, l’un des kinés-conseil d’Équipe Active.

La sédentarité, le mal du siècle ?

« Pour votre santé, bougez-plus », ce slogan bien connu prend tout son sens à partir de 60 ans, alors que les enjeux deviennent beaucoup plus sérieux, voire graves.

En effet, en l’absence de sollicitation, les muscles fondent et s’atrophient, on prend du poids, les articulations se grippent et deviennent douloureuses. On devient alors beaucoup plus vulnérable à toutes les maladies liées à l’âge comme l’ostéoporose, la fibromyalgie, le diabète, l’accident cardio-vasculaire, etc.

La chute, un risque majeur pour le sénior

D’après une étude de l’Assurance Maladie, chaque année, plus de 2 millions de personnes âgées de plus de 65 ans sont victimes d’une chute.
Il s’agit de la première cause de décès accidentel chez les plus de 65 ans.

Avec un corps fragilisé par le manque d’activité, on est non seulement davantage sujet aux chutes (l’entretien des muscles posturaux et des membres inférieurs permettant le maintien de l’équilibre), mais les chutes ont également des conséquences plus graves du fait de la fragilité des os et des articulations.

Freiner la perte d’autonomie

Axel est catégorique : le moyen naturel le plus efficace pour diminuer ses symptômes, prévenir les problèmes futurs et ainsi ralentir la perte d’autonomie est le maintien d’une activité physique.

« Lorsque les patients, de plus en plus nombreux, viennent nous voir sur prescription de leur médecin, il leur est très difficile de remonter la pente. Tout le monde y gagnerait s’ils agissaient davantage en prévention, en restant actif par quel que moyen que ce soit, afin de maintenir leurs aptitudes physiques. »

Les activités adaptées aux « séniors » recommandées par les médecins et kinés ne manquent pas : gym douce, yoga, pilates, tai chi, marche à pied, natation, aquagym etc.

Elles ont démontré leur efficacité tout en n’imposant aucun mouvement brusque ou à impact, avec la plupart du temps des mouvements compatibles sur chaise et sans avoir à passer au sol.

Elles permettent pour autant d’effectuer un renforcement complet des muscles de tout le corps, d’améliorer son équilibre, son souffle mais aussi de stimuler la production d’hormones favorisant l’immunité et le bien-être.

On passe à l’action ?

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